Biolo'klock

POURQUOI CE NOM, BIOLOKLOCK ? : Parce que le nom vient de “Biolo” pour biologique,comme on disait à l’époque, et du patronyme familial, Klockenbring.PIONNIERS DE LA BIO Quatre générations se sont déjà suc-cédées sur les terres du Lot et Garonne, avec un esprit pionnier :

Franz, pharmacien homéopathe, achète la ferme dans le Lot et Garonne dans les années 1930 ;

Jean-Didier la convertit à l’agriculture biologique en 1960 ;

Bernard diversifie les fruits produits parles vergers et ajoute à la production des fruits, leur transformation;

David crée Bioloklock en 1995, engage les vergers sur la voie de la permaculture et se spécialise dans un artisanat d’excellence.

PAYSANS SOLIDAIRES ET RESPONSABLES: Aujourd’hui cultivés en permaculture, les vergers fournissent des fruits dans un environnementpensé comme un système vivant. Nos poules chassent les parasites des fruits quand ils sont encore dans leur phase larvaire, tout comme les chauves-souris pour lesquelles nous aménageons des nichoirs. Autres auxiliaires pour nos cultures, les mésanges côtoient les hérissons et les moutons. Ces derniers coupent les herbes et enrichissent la terre. Dans le sous-sol, la vie se déroule sans remue-ménage car nous ne la labourons pas pour favoriser les lombrics et la vie mycélienne.

Nous avons su convaincre nos voisins de passer en bio à leur tour pour nous fournir des fruits qui nous faisaient défaut et nous avons pu développer un réseau d’approvisionnement spécialisé en fruits français. En effet, pourquoi prendre au loin ce que nous pouvons trouver dans la proximité ?

ARTISANS RIGOUREUX ET ENGAGÉS: Cette exigence dans la conduite de nos cultures et dans le choix de nos partenaires n’a de sens que dans un travail exemplaire dans notre cuisine.David est un Maître Artisan réel, amoureux de son art et soucieux de plaire à qui goûte ses produits.Il a formé de nombreux confituriers à travailler en petits chaudrons, sans additifs, mais avec un vrai savoir-faire.

Le travail est manuel pour toutes nos productions,qu’il s’agisse de la découpe des fruits au sirop ou de la cuisson des purées ou confitures. La main a toute sa place, pas l’électronique d’un robot mixeur cuiseur industriel collé à un “chaudron” de 300 kilos et piloté par écran tactile.

UNE BIO SINCÈRE ET NON INDUSTRIELLE: Dans le contexte actuel, la GMS opère une offensive majeure d’accaparement du marché bio.Nous avons choisi de ne pas y céder et réservons nos productions aux magasins spécialisés bio.C’est un pari risqué, mais il est temps de choisir le futur que nous voulons et assumer des choix courageux.

Nous espérons que d’autres acteurs de la bio feront de même et que nous porterons ensemble le projet de changement de société que nous méritons.